Les rangs sont les indicateurs de puissance des différents personnage de Tôkyô Majin ^^
Il en existe 7 ,tous ont été tiré du systéme de hiearchie de l'époque Edo dont voici les descriptions (Tiré de Wikipedia)
Vous augmenterez votre rang (donc votre puissance) au fur et à mesure de votre présence dans l'histoire. ^^
A chaque rang suppérieur atteint un signe du 'ying yang' s'ajoutera ^^
(P.S: Je posséde un Ying Yang qui tourne sur lui même,celuis-ci signifie que mon personnage à atteint les limites de la puissance du forum =) étant donner qu'il est un peu le grand méchant du fofow ^^)
Bushi
Au sommet de la hiérarchie se trouve la classe des guerriers (武士, bushi). Elle comprend les shoguns, les samouraïs et leurs entourages. Ils reçoivent une éducation guerrière et lettrée. Cette classe a droit de vie et de mort sur l'ensemble des autres classes.
Daimyō
Les familles de bushi possédant le plus de terres étaient nommés les daimyō. Ces grands seigneurs étaient les plus nobles, après le shogun. Quand un japonais inférieur croisait un daimyō sur une route, il devait en sortir et se mettre à genoux pour le laisser passer.
Samouraï
Ce sont les bushi possédant le moins de terre. Ils sont fortement liés à des seigneurs, et, s'il arrive à malheur à leur maître, ils doivent se faire seppuku. Ceux qui ne le font pas sont destitués et deviennent des rônin (samouraï sans maître).
Samouraï des daimyô
Ces samouraï ont pour maître un daimyô, ils se doivent donc d'obéir d'abord au daimyô, parfois avant le shogun. C'est cette faiblesse de pouvoir du shogun qui provoquera sa perte.
Nômin
Vient ensuite la classe des paysans (農民, nômin). Elle comprend une minorité de grands propriétaires terriens et une majorité de paysans souvent très pauvres. La raison de leur classement en haut de la hiérarchie, ainsi que la position des autres classes, vient en grande partie de l'importance que les Japonais accordaient à ceux qui « créent ». Les fermiers sont ceux qui créent la matière qui permet de vivre, c'est-à-dire la nourriture.
Burakumin
Les bouchers, les tanneurs et d'une manière plus générale toutes les personnes pratiquant une activitée liée à la mort faisaient partie de la classe des parias (穢多, eta) ceci en raison des prèjugés bouddhiques de l'époque. Ce terme très péjoratif fut redéfini récemment sous le terme plus neutre de burakumin (部落民). Contrairement aux autres classes, même à la pire (voir Hinin ou eta-hinin, littéralement les «très sales»), les burakumin naissaient burakumin et ne pouvaient espérer changer de groupe. Malgré l'abolition officielle du statut de paria en 1871, les discriminations dont ils furent l'objet n'ont pas totalement disparu et certaines couches de la population japonaise moderne ne marieraient pas leurs enfants avec un membre d'une famille dont la lignée comprendrait un burakumin. Certains propriétaires immobiliers (en refusant de louer) ou certaines entreprises (en payant moins) pratiquent la ségrégation envers les burakumin. Aujourd'hui, la communauté burakumin compte plus de deux millions de personnes, dispersées dans plusieurs ghettos d'Ōsaka ou de Kyōto.
Hinin
Si les burakumin étaient en marge de la société, il existait une classe qui en était totalement exclue, les « non-humains » (非人, Hinin). C'est la classe sociale de ce qu'on appelle péjorativement les « déchets de la société », c'est-à-dire les criminels et les mendiants. Mais, contrairement aux burakumin, ils avaient l'espoir, avec beaucoup de chance, de pouvoir réintégrer la société.